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Nom du personnage : Di'Malle Dy'Ness
Âge : 102
Classe : pretre/chevalier noir
Description physique : Une drow mesurant un mètre vingt-sept, la peau sombre, élancée, un visage très beau et fin. Sa beauté chaude est tempérée par une froideur apparente dû à son sérieux dans les affaires publiques. Sa chevelure longue blanche et légèrement pourpre es souvent un peu en bataille mais soignés avec élégance par sa domestique. Elle a les iris rouges et parsemées de touches dorées, son regard est envoûtant, parfois un peu martial, accentué par la forme en légère amande de ses yeux. Son oreille gauche arbore une boucle d’oreille étrange qui recouvre la partie supérieure et pointue d’une fine enveloppe d’orée, ouvragée de plantes vénéneuses. Bien que de petite taille, sa sillouette reste élancée. Son charisme est inégalé, étonne même. Elle parle et marche avec élégance et sureté, son rang suinte de son attitude. Elle pourrait passé pour une adolescante, les seins bien dur et ferme et les jambes musclés. Sans aucun plit dans le visage. On peut aussi remarquer une extrême légèreté et une agilité caractéristiques de sa race.
description mentale : Accédant malgré son jeune âge au rang de Yathrin de la déesse araignée, Di'Malle a été envoyer en surface pour rejoindre sa mère ilharess Illias Dy'Ness. elle vient a titre de maitrese des poisons, lui valant le titre de venimeuse. Elle s’emporte quasiment tous le temps et sa colère se traduit par des gestes brutaux dont se dégage une aura glacée. En temps normal, elle ignore les autres races sauf si elle trouve de l’intérêt à les cotôyer (sachant qu’elle peut décider d’un seul coup de les lâcher).
Histoire du personnage :
Je suis née il y a longtemps, dans la ville drow Undraeth sur l’ancien continent. J’ai été élevée par mes soeurs aidés de mâles. Ma mère, comme toute matrone de maison n’a jamais eu de temps pour ses enfants, trop occupée à comploter et à se faire bien voir de la Valsharess.
Partout la vie grouille à Undraeth et nous prenons grand soin de nos gardiennes : elles sont utiles, elles préviennent des intrusions et nous permettent de récolter leur venin… Mais plus que tout, elles sont filles de Lolth, tout comme nous.
Je n’ai pas de souvenirs de mes premières années, mes premiers souvenirs sont ceux du débuts de mon apprentissage a l'académie : on a rapidement décelé des talents d’alchimie chez moi, aucun pouvoir magique, mais une affinité particulière avec les herbes et les plantes.
La découverte des poisons a été une révélation… Je me souviens encore du plaisir de concocter des poisons et de les tester sur des mâles ou sur des esclaves. L’apprentissage des poisons a été long, tout comme les entrainements à la dague, et les études de prêtresse…
Pour se servir correctement d’une dague, tu dois connaïtre parfaitement l’emplacement des organes…
Pour se servir correctement d’un poison, tu dois savoir son effet, sa durée, et être capable de préparer un antidote ! Pour utuliser la magie de Lolth, tu dois être dans ces faveurs et ne jamais hésiter.
Amusant comme ces simples phrases raisonnent à mes oreilles, souvenir de mon enfance, souvenir si lointain et si présent… Pour connaître l’emplacement des organes, on a du découper et découper, des tonnes et des tonnes de cadavres, être capable, même les yeux fermés d’enfoncer à coup sur sa dague dans un coeur, un foie, une rate ou un poumon…
La fin des études est simple pour la dague : être capable d’enfoncer 26 fois une dague sur quelqu’un sans le tuer… Pour cela, il ne faut pas toucher d’artère ni d’organe, sinon la personne meurt trop vite et…
Ceci doit être l’une des raisons pour lesquels les rivvins nous considèrent comme cruel… Mais la notion de bien et de mal varie tellement d’un peuple à l’autre.
Pour les poisons, je ne sais pas si j’ai un jour fini cet apprentissage. La femme qui nous donnait son enseignement était l’une des plus agées de notre cité ; Etrangement, elle était douce et calme, voir même gentille ; elle aimait passer du temps avec moi, me montrant tel et tel poison… J’avais une telle soif d’en apprendre plus, j’aimais cela, préparer les poisons, extraire les glandes des poissons ou recueillir le venin des araignées… Choisir les plantes, les malaxer et…
Bien sûr, nous goutions bon nombre de nos poisons : quelle meilleure façon que de reconnaître un poison si on en connait son effet précisément, si on sait son effet dans sa chaire… L’important est la dose, même pour les poisons mortels… C’est étrange de se dire qu’un poison n’est mortel que si la dose est exacte : trop, il sera vomi, pas assez, il rendra simplement malade… Mais pour bien connaître ses doses, il faut tester les poisons : nous prenions des rivvins, des esclaves que les mâles allaient cuieillir pour nous en surface; Il était inconcevable que je sorte de la citée : je n’étais qu’une fillette, et les drows ne se promènent pas en surface.
C’est tellement cocace le nombre de choses qu’un drow ne fait pas : Fais pas ci, fais pas ça…
La surface, c’etait un mot impressionnant pour moi. J’ai eu le droit d’y aller la première fois, à l’age de 102 ans. Mais je n'en parlerais pas maintenant. Durant tout ce temps, j’ai grandi et appris à La servir, Lolth. Je suis née pour cela, et en tant que femelle c’était mon rôle.
Première année d’apprentissage des arts divins de Lloth. J'étais agenouillée comme toutes les autres apprenties du Temple, j'attendait. Nous attendions ainsi depuis trois heures déjà, sous les yeux vigilants des gardiennes armées de redoutables cimeterres, à la lame empoisonnée. Je le savait, nous ne devions se lever ni bouger sans l’ordre exprès d’une Prêtresse.
La porte en adamantite sculptée claqua, et ce fut de peu qu’elle ne sortit de ses gonds. La Mère Matrone Sylice apparut, flanquée de deux prêtresses à ses côtés, l’air furieux, avançant à grandes enjambées.
'' Maudit sarglins! Les mâles sont-ils donc tous des incapables ? Des imbéciles ? Explorer une grotte, et se faire massacrer par de vulgaires nains gris… Ah… voici nos jeunes apprenties… ''
Elle se pencha sur chacune d’entre elles, et arriva à la femelle située à ma droite. Celle-ci tressailla à son approche, une chose que Sylice ne pardonna pas. La giflant, elle l’envoya dans ses quartiers, les apprenties savaient toutes ce qui l’attendait… l’exclusion, ou un châtiment dont elle se souviendrait.
Elle arriva à mon niveau, je ne bougea pas un sourcil, les mains sur mes cuisses. Sylice empoigna son fouet vipérin, et le fit effleurer ma joue. Elle entendit et je sentit les cinq serpents toucher et caresser ma peau, allant de mon menton jusqu’a mes cheveux. Je résistais toujours à l’envie de bouger.
Après des minutes qui me parurent des heures, Sylice me prit le menton de son index recroquevillé.
« Comment t’appelles-tu jeune femelle ?
-Di'Malle… Di'Malle, de la Maison Dy'Ness.
-Mmmh… Bien, tu as du courage et de la retenue. Mais soit certaine que cette épreuve n’est rien en rapport à ce qui t’arrivera lors de tes prochaines années ici.
-Oui Mère matronne. Je serai digne de servir Lolth, quelque soient les épreuves que je devrai passé.
-Un bon esprit, c’est ce qu’il te faut en premier lieu. Mais nous verrons si tu résisteras jeune apprentie. »
Et elle passa à l’élève suivante.
Les années suivantes furent l'apprentissage des dogme de Lolth, la soumission des mâles et les lois qui régissent notre société. des cours bien ennuyeux, jusqu'à la cérémonie d'acceptation.
Je me souviens de cette cérémonie : tous les drows étaient rassemblés, et devant eux, j’ai du monter un escalier. Arrivée en haut, Sylice m’a fait boire une fiole contenant le sang de la déesse ; j’ignore comment elle s’est procurée cela, mais l’effet a été immédiat… Elle récitait une longue litanie et je sentais en moi le sang qui me brulait… Je me demandais si Lolth allait m’accepter, si Elle me jugeait digne…
"Lloth, Lloth... loué soit Ton Nom, redoutée soit Ta Puissance, mortel soit Ton Corroux
Ho Divine Maitresse, total soit Ta Domination. Moi, Di'Malle Dy'Ness, je m'offre à toi corp et âmes."
Ainsi fini la prière de "confirmation" que l'on prononce après 25 ans d'étude à Arach-Tinilith.
À peine ai-je fini de la prononcer que je fus soudain entourée de Vestale et une vois tonna dans ma tête.
-"Salut prétresse car oui je t'accorde désormais ce titre.(à ce moment une onde de pouvoir me parcouru) Ton éducation est finie. Rends toi à la maison Dy'Ness Matrone Xéolandra à une quète à te confier."
Quelques secondes s'écoulèrent avant que le mal de tête disparaise. Devant moi, matronne Sylice, qui s'occupait de ma formation me dit en pleurant de joie.
-" Lloth est en toi désormais, nous le sentons! ''
-"Je sais" fut ma réponce " Elle m'a parlée".
-"Ne délire pas, tu n'es qu'une novice" me dit-elle avec un air réprobateur.
-"Je ne délire pas, regarde" et toute étonnée elle constata la deuxième tête apparue à mon fouet.
-"Que t'a t'elle dit réponds!"
-"Ma formation est fini je dois me rendre au près de Matrone Xéolandra"
Ainsi commença ma quête divine, je m'étais toujours passionées pour les récits racontant notre gloire passée lorsque nous dominions le Pays d'En-Haut. L'un des préceptes de Lloth dit qu'un jours nous dominerons la surface, je suis là pour que la parole de ma Sombre Reine se répandes à la surfaces. Mais ne mettons pas le poison avant la lame. Et continuons mon histoire...
Arrivées devant Matrone Xéolandra, je m'agenouilla. Elle était déjà au courant de ce que Lloth me réservais. Xéolandra m'avais toujours appréciée, je ne savais pas si je devais m'en réjouir car celà ne pouvais que signifier qu'elle me considérait comme une future rivale. Elle me dit:
-"Tu es bénie par la Lloth, c'est un grands honneur pour la maison. Tu t'es toujours intéressée à la surface, non ne nie pas, je l'ai toujours su... Lloth me l'a dit!".
Je tremblais, je savais que ma cousine Vierna, avait été chatiée pour ça, elle avait déplu à Lloth et personne ne l'avait revue sans compter que dans mon enfance j'avais déjà eu affaire avec les vestales et leurs batons à tentacules. J'avais donné de la nourriture à un esclave humain et cet humain, un mâle en plus, m'a vendue à ma mère, en espérent une récompense... Au retour de mon séjour de chez les vestales, il fut le premier être à qui j'arracha le coeur sur l'autel sacré de Lloth.
-"Ne tremble pas mon enfant n'as tu pas compris? Lloth veut que les Drows tournent leur regards vers la surface. Depuis trop longtemps, nous avons oublié que notre but principale est de régner sur tout les autres peuples. Elle t'as choisie! Tu devras rejoindres la surfaces et établir un avant-poste, une place forte.''
En comprenant l'ampleur de cette tâche, mon esprit se mis à fonctioner à plein régime, pourquois moi une simple novice? Par où commercer?
-"Cet avant-poste, ma nièce, servira aussi d'ambaçade à notre ville, nous devons dévelloper des contactes commerciaux avec la surface. Nous avons besoin de matieres premières, d'informations, de nourritures et surtout d'esclave.''
-"Comment pourrais-je faire tout ça, Matrone Sylice, je ne met pas en doute la parole de la Mère Noire, mais de ma propre capacité. Je ne suis qu'une novice. Je ne pourais jamais tenir le rôle d'une grande prétresse. Et puis je ne parle pas la langue de la surface."
Les yeux de Xéolandra me clouèrent sur place.
-"Tu es une Drow ne l'oublie pas! Lloth à renforcer le lien qu'elle partage avec toi tu es plus fortes qu'avant, elle ta aussi accordé le dons de comprendre et de parler le commun de la surfaces. Ensuite nous te fournirons une escorte pour rejoindre la surface. Dans un premier temps tu repéreras ta mère matronne Illias. Elle a trouvé une ville qui pourras nous accuellir et qui correspond à nos besoin commerciaux. Va à l'armurie, j'ai fais préparer un équipement pour la surface. Maintenant retourne dans tes quartiers et prépare ton voyages."
De retour dans mes quartiers, je me replongeais dans ses livres qui étaient proscrit, sachant ma mère sur Arcanos. Et dans un vieux livre décrepit je trouvais une référence à Étrion, une ville ouverte à tous les cultes et dirigées par le chaos. On pouvait tout y trouver du moment que l'on était près à payer le prix."Parfaite" me dis-je.
Celà c'est passé il y a déjà 5 semaines, mon escorte n'a pas eu le courage de me suivre à la surface, que ces faibles mâle tremble, moi je n'ai pas peur, ma déesse est à mes côtés je ne peux pas échouer.
C’est donc seule que j’ai découvert la surface. La lumière m’a tout d’abord brulé les yeux, pourtant, ce n’était que la clarté de la lune, mais en comparaison avec nos profondeurs, c’était bien suffisant… Et ces odeurs : mon nez était assailli d’odeurs nouvelles: je découvrais le parfum des forêts. Cette première sortie, je n’en oublierais jamais les impressions.
La pluie fouette mon visage, quelle sensation étrange et le froid fait frissoner a peau. Je suis exitée car j'aperçois au loin les murs de la citée. Un jour je l'offrirai à notre Déesse, un jour elle m'appartiendra pour la plus grande gloire de ma maison.
Statut d'ébène à la voix de velours,
Entend battre notre sang sombre
Mère des Drows,
protège nous de ta puissante ombre.
Maudit nos cousins à la peau si claire,
viles traîtres qui nous ont bannis de la lumière
Attire sur eux les foudres de ta colère,
que ton chant souille nos faux frères.
Exilés de la surface,
orphelins de toute une race,
tu nous acceuillis en ton sein
Et nous a nourri de ton venin.
Lolth, déesse des Drows,
nous te rendons grâce,
ton pouvoir et ta haine
ont nourris notre race.
Puisse ton règne venir et que ce fléau s'abbatte
que la vermine rampante, croulante à la surface
subisse ton joug comme un poison mortel
qui une fois sa cible atteinte aux trépas l'entraîne.
Sujet: [Validé] Di'Malle Dy'Ness ![[Validé] Di'Malle Dy'Ness Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif){kind=icon}
Mar 10 Mar - 16:50